lundi 19 novembre 2007
JE PEUX JOUER AUSSI ?
Je nai rien contre toi, cher gendre à dorer, mais je trouve le jeu amusant et j'ai voulu montrer que j'avais de quoi jouer... et de quoi continuer hé! hé!
vendredi 16 novembre 2007
Le beaujolais nouveau ne veut pas mon mot de passe
Je voulais répondre à Lilian directement sur son message du beajolpif nouveau mais son blog n'a pas voulu mon mot de passe et donc à refusé de diffuser le message qui suit. Mais Francoise futée est arrivée et a copié collé le message qui avait jaillit de mon cerveau courroucé et que j'avais, avec application, inscrit dans la case réponse au message... snif... n'a pas voulu lui donner suite... et j'ai réessayé 10 fois le mot de passe en faisant attention où mes doigts se posaient sur les touches, j'ai verifié 50 fois si j'étais bien en minuscule... mais l'a rien voulu savoir ce fichu blog. M'ENFIN... (gros soupir)
Donc voici ma petite prose :
" hé oui, argent, argent, argent ...
Le beaujolais nouveau se boit même à Toulouse,et les Toulousains ne savent même pas où se situe ni Beaujeu, ni la région du beaujolais. Ils n'en n'ont rien à faire et en plus, ils se permettent de critiquer le vin qu'ils ne savent même pas déguster dans les règles de l'art (que tu as si bien décrit) et qu'ils ne savent surement pas apprécier, vu que ce qu'ils ont à leur disposition, n'est surement pas le vrai beaujolais, le vrai de vrai, celui qu'on consomme tranquil dans un bon petit caveau, chez le petit vigneron du coin, loin de tout le toin toin publicitaire.
Et tout çà est bien dommage pour le vrai beaujolais, un bon petit vin sans prétention mais qui se laisse boire avec un certain plaisir, dans certaines conditions propres à sa valeur."
Merci, merci...
Donc voici ma petite prose :
" hé oui, argent, argent, argent ...
Le beaujolais nouveau se boit même à Toulouse,et les Toulousains ne savent même pas où se situe ni Beaujeu, ni la région du beaujolais. Ils n'en n'ont rien à faire et en plus, ils se permettent de critiquer le vin qu'ils ne savent même pas déguster dans les règles de l'art (que tu as si bien décrit) et qu'ils ne savent surement pas apprécier, vu que ce qu'ils ont à leur disposition, n'est surement pas le vrai beaujolais, le vrai de vrai, celui qu'on consomme tranquil dans un bon petit caveau, chez le petit vigneron du coin, loin de tout le toin toin publicitaire.
Et tout çà est bien dommage pour le vrai beaujolais, un bon petit vin sans prétention mais qui se laisse boire avec un certain plaisir, dans certaines conditions propres à sa valeur."
Merci, merci...
mardi 13 novembre 2007
HELLO
Le soleil brille, la route est large, les oiseaux chantent mais brrr, fait pas chaud.
z'avez de la neige vous tous là-haut ?
Tout comme Julien, j'ai remis mon cerveau en marche... j'étudie l'astrologie. Bientot je serais championne. Disons que çà me passionne depuis longtemps déjà mais je n'avais pas trouvé le bouquin qu'il fallait. Et puis je viens d'en trouver un qui semble génial et je ne vois pas le temps passer, et même que je dois me lever tôt si je veux aussi faire un peu de ménage.
Et contrairement à Julien, le cerveau des belles-mêres rajeunisse au fil des années... si, si c'est prouvé...
z'avez de la neige vous tous là-haut ?
Tout comme Julien, j'ai remis mon cerveau en marche... j'étudie l'astrologie. Bientot je serais championne. Disons que çà me passionne depuis longtemps déjà mais je n'avais pas trouvé le bouquin qu'il fallait. Et puis je viens d'en trouver un qui semble génial et je ne vois pas le temps passer, et même que je dois me lever tôt si je veux aussi faire un peu de ménage.
Et contrairement à Julien, le cerveau des belles-mêres rajeunisse au fil des années... si, si c'est prouvé...
jeudi 8 novembre 2007
ALCOOL ET DROGUE
Cette aprés midi je suis allée voir mes collègues au bureau. Et là j'ai appris une nouvelle qui m'a navrée.
Un ancien collègue (il avait démissionné fin 2006 aprés environ 1 an de boite) avec qui j'ai bossé et dont j'appréciais la gentillesse, est tombé dans le coma samedi, aprés une soirée bien arrosée avec des copains. Malheureusement il était coutumier de ces soirées bien arrosées et consommait en plus du "chite" régulièrement.
C'était un mec pommé, que ces parents couvraient en lui trouvant tout plein d'excuses, quand part exemple il ne se présentait pas au boulot (pour cause de ces soirée la veille) et ne prenait même pas la peine d'avertir...
Il a 23 ans et maintenant ces parents doivent décider quand le débrancher des appareils qui lui serve de vie. ...Il est donneur d'organes...
Et le plus dur pour ses parents reste à venir.
Et j'espère que ce drame sera pour les copains un déclencheur pour qu'ils arrètent de foutre leurs vies en l'air.
Il s'appelle Mathieu, c'est un beau gosse et avait tout pour être heureux.
Un ancien collègue (il avait démissionné fin 2006 aprés environ 1 an de boite) avec qui j'ai bossé et dont j'appréciais la gentillesse, est tombé dans le coma samedi, aprés une soirée bien arrosée avec des copains. Malheureusement il était coutumier de ces soirées bien arrosées et consommait en plus du "chite" régulièrement.
C'était un mec pommé, que ces parents couvraient en lui trouvant tout plein d'excuses, quand part exemple il ne se présentait pas au boulot (pour cause de ces soirée la veille) et ne prenait même pas la peine d'avertir...
Il a 23 ans et maintenant ces parents doivent décider quand le débrancher des appareils qui lui serve de vie. ...Il est donneur d'organes...
Et le plus dur pour ses parents reste à venir.
Et j'espère que ce drame sera pour les copains un déclencheur pour qu'ils arrètent de foutre leurs vies en l'air.
Il s'appelle Mathieu, c'est un beau gosse et avait tout pour être heureux.
mercredi 7 novembre 2007
Je viens d'avoir 10 ans
Ben voui, j'ai craquouillé... ben quoi... mais le fait d'avoir écrit ce qui m'arrivait sur le blog, sachant que ce serait lu, mais sans que ce soit adressé à une personne précise, m'a quelque part fait du bien... beaucoup de bien même.
Merci Julien de m'avoir rappelé que tu avais un téléphone mais quand je suis comme çà, la grosse boule dans la gorge bloque les paroles et ne laisse passer que les larmes, ce qui ne rend pas la communication facile. Il est plus facile pour moi, à ce momentlà, d'écrire.
Et depuis Lundi, çà va beaucoup mieux.
Cette aprés midi, j'ai eu 10 ans en me promenant au Gironis avec Princesse.
Déjà hier je me suis régalée mais aujourd'hui je me suis complètement lachée et même que çà m'a fait rire (il n'y avait personne à mes cotés)
Que croyiez vous que je fisses ???
Tout bètement, j'ai marché dans les feuilles mortes en les faisant craquer,et en trainant les pieds dedant,et en les poussant avec les pieds...
C'était commme quand j'allais à l'école primaire ou encore à la messe le dimanche, avant que ne soient coupés tous les platanes qui bordaient la route. Il y en avait beaucoup et en automne, les feuilles mortes faisaient un tapis épais et j'adorais marcher dedans, en les faisant craquer, en trainant les pieds, en les poussant avec les pieds. J'adorais ce bruit que j'entendais alors et j'adorais l'odeur qui se dégageait.
Et depuis 2 jours,ô miracle, un tapis de feuilles mortes s'est formé autour du lac et c'est un vrai plaisir pour moi. Cet aprés midi, quand je me suis rendu compte de ce que je faisais réellement, çà m'a fait rire, pas rire aux éclat non plus mais un rire de grand plaisir vécu sur le moment.
Ben voui, nous sommes tous de grands enfants...
Merci Julien de m'avoir rappelé que tu avais un téléphone mais quand je suis comme çà, la grosse boule dans la gorge bloque les paroles et ne laisse passer que les larmes, ce qui ne rend pas la communication facile. Il est plus facile pour moi, à ce momentlà, d'écrire.
Et depuis Lundi, çà va beaucoup mieux.
Cette aprés midi, j'ai eu 10 ans en me promenant au Gironis avec Princesse.
Déjà hier je me suis régalée mais aujourd'hui je me suis complètement lachée et même que çà m'a fait rire (il n'y avait personne à mes cotés)
Que croyiez vous que je fisses ???
Tout bètement, j'ai marché dans les feuilles mortes en les faisant craquer,et en trainant les pieds dedant,et en les poussant avec les pieds...
C'était commme quand j'allais à l'école primaire ou encore à la messe le dimanche, avant que ne soient coupés tous les platanes qui bordaient la route. Il y en avait beaucoup et en automne, les feuilles mortes faisaient un tapis épais et j'adorais marcher dedans, en les faisant craquer, en trainant les pieds, en les poussant avec les pieds. J'adorais ce bruit que j'entendais alors et j'adorais l'odeur qui se dégageait.
Et depuis 2 jours,ô miracle, un tapis de feuilles mortes s'est formé autour du lac et c'est un vrai plaisir pour moi. Cet aprés midi, quand je me suis rendu compte de ce que je faisais réellement, çà m'a fait rire, pas rire aux éclat non plus mais un rire de grand plaisir vécu sur le moment.
Ben voui, nous sommes tous de grands enfants...
lundi 5 novembre 2007
rien de particulier à dire
journée qui passe pareil à la précédente et la suivante y ressemblera
pas grand chose à faire, pas grand chose à dire, pas grand chose à raconter.
je suis dans ma coquille.
C'est trop dur de faire semblant d'aller quand tout va de travers, quand il n'y a plus de moteur qui fait avancer, quand on a envie de hurler pour faire sortir ce qui reste coincé à l'intérieur.
Il est des absences que nous acceptons parce qu'elles sont le signe d'indépendance.
Et même si la distance est parfois importante, le téléphone existe et s'il ne remplace pas la présence chaleureuse, le lien est là et c'est mieux que rien.
Et puis il y a le plus rien. Cette absence qui n'en fini pas, celle qui se fait parfois sentir comme une déchirure, celle qui laisse encore anéanti même aprés des années, celle qui démolit en un instant ce que nous essayons de reconstruire entre deux de ces visites. Et pourquoi est-ce toujours aussi fort ?
Je sais, je remets encore tout çà sur le tapis mais il est des périodes encore si difficile à vivre.
Je crains que ce mal de vivre récurant ne vous rende mal à l'aise. Pardonnez moi pour çà.
Il m'est si difficile decomprendre et d'exprimer ce que je ressens en ce moment.
J'ai l'impression de souvent dire la même chose, aux mêmes périodes. C'est si dur à porter toute seule que parfois tout çà déborde en emportant mes bonnes résolutions, celles de ne plus me laisser aller mais c'est trop fort, tout remonte des profondeurs et rien n'y fait. Et je suis impuissante.
Mais ne vous méprenez pas. Je ne cherche ni à culpabiliser quiconque, ni à vouloir attirer la pitié. Je veux seulement dire qu'en ce moment ce n'est pas franchement génial. (comme d'habitude direz vous)
Je vais faire le dos rond dans mon coin et attendre que çà passe. Un autre jour va se lever... meilleur ?
journée qui passe pareil à la précédente et la suivante y ressemblera
pas grand chose à faire, pas grand chose à dire, pas grand chose à raconter.
je suis dans ma coquille.
C'est trop dur de faire semblant d'aller quand tout va de travers, quand il n'y a plus de moteur qui fait avancer, quand on a envie de hurler pour faire sortir ce qui reste coincé à l'intérieur.
Il est des absences que nous acceptons parce qu'elles sont le signe d'indépendance.
Et même si la distance est parfois importante, le téléphone existe et s'il ne remplace pas la présence chaleureuse, le lien est là et c'est mieux que rien.
Et puis il y a le plus rien. Cette absence qui n'en fini pas, celle qui se fait parfois sentir comme une déchirure, celle qui laisse encore anéanti même aprés des années, celle qui démolit en un instant ce que nous essayons de reconstruire entre deux de ces visites. Et pourquoi est-ce toujours aussi fort ?
Je sais, je remets encore tout çà sur le tapis mais il est des périodes encore si difficile à vivre.
Je crains que ce mal de vivre récurant ne vous rende mal à l'aise. Pardonnez moi pour çà.
Il m'est si difficile decomprendre et d'exprimer ce que je ressens en ce moment.
J'ai l'impression de souvent dire la même chose, aux mêmes périodes. C'est si dur à porter toute seule que parfois tout çà déborde en emportant mes bonnes résolutions, celles de ne plus me laisser aller mais c'est trop fort, tout remonte des profondeurs et rien n'y fait. Et je suis impuissante.
Mais ne vous méprenez pas. Je ne cherche ni à culpabiliser quiconque, ni à vouloir attirer la pitié. Je veux seulement dire qu'en ce moment ce n'est pas franchement génial. (comme d'habitude direz vous)
Je vais faire le dos rond dans mon coin et attendre que çà passe. Un autre jour va se lever... meilleur ?
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